lundi 23 novembre 2009

Percival Everett et Forrest Gander, deux Américains des "Belles Étrangères"

Je crois que je vais, aussi régulièrement que possible, vous donner des liens vers des articles que j'écris pour Le Soir. C'est là, après tout, que je publie l'essentiel de la production (depuis 1983, ce qui ne me rajeunit pas). Et, si tout n'est pas diffusé sur le site du quotidien, une partie y est quand même disponible. Aujourd'hui (mais, en fait, depuis vendredi), deux romanciers américains venus en Europe pour Les Belles Étrangères.


Depuis cinq ans, les romans de Percival Everett sont traduits avec régularité. Le supplice de l'eau est le cinquième. Il est empli d'une violence dont plusieurs aspects renvoient explicitement à la politique américaine qui a engendré Guantánamo et Abu Ghraib pendant les récentes années Bush, président traité de loin en loin sans ménagement...


Forrest Gander est surtout connu pour sa poésie, non disponible en français, et ses traductions de l'espagnol. Il a notamment fait découvrir aux États-Unis une nouvelle génération de poètes mexicains. En abordant le roman l'an dernier, il montre combien il est aussi chez lui sur un terrain qu'il n'a probablement pas fini d'explorer.

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